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Présentation

Population 1163 habitants
Superficie 62.49 km*km
Densite 18.61 habitants/km*km
Latitude 47.92 °
Longitude -69.5 °

Plus d'informations

LA RICHE HISTOIRE DE LA PREMIÈRE NATION WOLASTOQIYIK WAHSIPEKUK

L’histoire avant l’« Histoire »

Le peuple wolastoqey occupe son territoire ancestral depuis plus de 8000 ans. Avant l’arrivée des Européens en Amérique au 16e siècle, la vie des Wolastoqiyik était rythmée par le cycle des saisons. En effet, ce peuple autochtone de la grande famille linguistique algonquienne pratiquait un mode de vie semi-nomade. Les gens de cette nation se déplaçaient sur de grandes distances sur l’ensemble de leur territoire, le Wolastokuk, dont l’artère principale est la rivière Wolastoq (rivière Saint-Jean) et qui s’étend depuis le Fleuve Saint-Laurent au nord, jusqu’à la Baie de Fundy au Sud et d’est en ouest depuis les environs de Matane jusqu’à la rivière Etchemin, près de Québec. Par le biais des cours d’eaux et des portages, les Wolastoqiyik (peuple de la belle et généreuse rivière) parcouraient ces impressionnantes distances démontrant une connaissance inégalée de leur territoire et de ses ressources. 

Etchemins, Amalécites, Malécites

À l’époque du régime français, les Wolastoqiyik étaient connus sous le nom d’« Etchemins » en référence à la rivière de ce même nom, dont l’embouchure se trouve à la hauteur de Lévis, qu’ils empruntaient pour se rendre à l’Atlantique. Plus tard, les Anglais ont commencé à employer le terme Malicite ce qui signifie, en langue Mi’kmaq, ceux qui parlent lentement. Cet ethnonyme s’est transformé au fil du temps et est devenu « Maliseet » en anglais et « Malécite ou Amalécite » en français. 

La colonisation

Au début du 19e siècle, les Euro-Canadiens étaient de plus en plus nombreux sur le territoire et l’espace disponible pour établir des villages agricoles se faisait de plus en plus rare le long de la vallée du Saint-Laurent. C’est aussi à cette époque que les relations entre les autochtones et les autorités coloniales commencèrent à se détériorer. Ainsi, les gens des premières nations qui, pendant les décennies précédentes avaient été des alliés militaires, devinrent tout à coup des obstacles à la colonisation et au développement du pays. 

Les Wolastoqiyik furent parmi les premiers à être placés dans des « établissements Indiens » qui, plus tard deviendront officiellement des « réserves ». C’est dans cette mouvance que fut créée officiellement en 1827 l’établissement des « sauvages de l’Isle Verte » à la demande des chefs Louis et Joseph Thomas agissant au nom d’une trentaine de familles. Ce n’est qu’en 1849 que le terme « Viger » fait son apparition lors de la création du canton du même nom, en hommage à Denis-Benjamin Viger, un notable de la région de Montréal. Il n’y a pas de lien connu entre cette personne et les gens de la communauté Wahsipekuk. 

En 1851, suite à l’adoption d’une loi visant à créer plusieurs réserves, l’établissement des « Amalécites de l’Isle Verte » devient officiellement la « réserve de Viger ». 

Pendant une soixantaine d’années, la réserve de Viger fût occupée par les ancêtres des membres actuels de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk qui, en dépit de nombreux efforts pour développer une production agricole, ont dû faire face à de multiples difficultés : incendies, famine, épidémies, pauvreté ainsi que l’empiètement sur leurs terres et le vol de bois par les colons avoisinants qui, en plus de convoiter ces terres, toléraient mal la présence d’autochtones auprès d’eux. 

En 1869, après une série de manœuvres douteuses orchestrées par les frères Langevin qui occupaient des postes stratégiques, tant dans le clergé qu’au sein du gouvernement, en collusion avec des notables du Bas-St-Laurent, les terres furent reprises par la couronne et vendues rapidement aux enchères au printemps 1870 privant ainsi les membres de la bande de leur unique lieu de rassemblement et principal moyen de subsistance. 

Après deux tentatives de relocalisation infructueuses sur d’autre terres de réserve, l’une en 1876 (Kataskomiq-Whitworth) et l’autre en 1891 (Cacouna), les anciens occupants de la réserve de Viger se sont graduellement dispersés afin de trouver un moyen de subsistance. 

La renaissance

C’est en 1987 que se sont amorcés sous l’initiative d’un petit groupe de personnes des travaux visant à retrouver les descendants des « Amalécites de Viger » afin de reformer la bande, de la faire revivre et reconnaître officiellement. Après quelques années d’efforts soutenus, l’assemblée nationale du Québec a adopté en 1989 une motion reconnaissant officiellement la Première Nation Malécite de Viger comme la onzième première nation au Québec. 

Depuis ce temps, le chemin parcouru est impressionnant. La nation s’est engagée sur le long chemin de la réappropriation culturelle et identitaire tout en en déployant des moyens considérables pour se développer sur les plans politiques et socio-économiques. 

C’est dans cet élan d’auto-détermination que la communauté a choisi de reprendre son nom d’origine, plutôt que de continuer à porter celui que lui avait donné les autorités coloniales. Depuis 2019, les membres de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk ont donc officiellement repris leur identité autodéterminée qui fait écho à la localisation de notre communauté qui, depuis des millénaires, fréquente les abords du Fleuve Saint-Laurent.  

 

Légende des termes

Wolastoq


La belle et généreuse rivière

Wolastoqiyik


Le peuple de la belle et généreuse rivière

Wolastoqey


Adjectif se rapportant à la wolastoq (un canot wolastoqey)

Wolastoqewi


Une personne de la belle et généreuse rivière (je suis wolastoqewi - nil wolastoqewi)

Wolastokuk


Territoire ancestral wolastoqey

Wahsipekuk


La grande étendue d’eau de l’autre côté (des montagnes) – Relatif au fleuve Saint-Laurent

Wolastoqey latuwewakon


Langue wolastoqey

 

 


 

LA MAISON DENIS LAUNIÈRE, UN PATRIMOINE BÂTI À CACOUNA

maison Denis-Launière

C’est en 1891 que le gouvernement du Canada attribua un petit territoire de soixante pieds de large (18,20m) à la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk (réserve 22) dans la paroisse Saint-Georges de Cacouna. C’est la présence permanente d’un groupe de Wolastoqiyik dans le secteur qui amène le ministère des Affaires indiennes à faire l’acquisition de la réserve. À cette époque, on y construit six petites maisons incluant l’actuelle maison « Denis-Launière ». Les familles Denis, Brière et Launière ont habité la réserve.

La maison Denis-Launière se trouve toujours à l’intersection des rues du Quai et de la Grève. La partie avant est occupée par un centre d’interprétation et la partie arrière avec toit en appentis par la boutique d’artisanat « Matuweskewin », ce qui signifie chasseurs de porcs-épics dans le langage wolastoqey/passamaquoddy. À ce titre, le nom Cacouna pourrait être d’origine innue « Kaku » ou d’origine crie « Kakwa » ce qui signifie dans les deux (2) cas « porcs-épics ». L’origine toponymique de Cacouna est toujours controversée.

Cette petite maison fut occupée par le chef « Joseph Launière » jusqu’à son décès en 1972. Plus personne n’a habité la maison depuis ce temps.

Son agencement intérieur n’a pas changé au fil du temps, il démontre le « confort » dont pouvait bénéficier une famille de quatre enfants. Rénovée vers 2001, la maison a été élevée au rang d’immeuble patrimonial vers 2013, elle a donc conservé fidèlement son aspect de l’époque. La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk est la première communauté autochtone à se prévaloir du droit de donner un statut légal à un bien patrimonial. Ce bâtiment peut donc être honorablement défini comme un symbole de la résidence des Wolatoqiyik Wahsipekuk à Cacouna.

 

WOLASTOKUK (TERRITOIRE ANCESTRAL)

Au Québec le territoire ancestral des Wolastoqjyik, le Wolastokuk s’étend de la périphérie du bassin versant de la rivière Etchemin, dans le secteur de Lévis, à l’Ouest jusqu’aux abords du bassin versant de la rivière Métis à l’Est et du fleuve Saint-Laurent au Nord jusqu’aux frontières du Maine et du Nouveau-Brunswick au Sud. Le Wolastokuk constitue l’élément central de l’identité culturelle et de l’affirmation politique wolastoqey ainsi que l’assise du développement économique et social de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk (PNWW). 

Constitué à 77,3% de forêt dont 36,6 % située en territoire public le Wolastokuk possède un important potentiel de développement économique pour les Wolastoqiyik grâce à ses ressources floristiques et fauniques ainsi qu’à son potentiel récréotouristique exceptionnel.

Depuis 2019, la PNWW s’est dotée d’un département des ressources naturelles et du territoire afin d’accentuer sa vigie de gardienne du territoire ancestral et pour mieux assurer la protection et la pérennité de ses ressources naturelles et de son patrimoine ancestral. Pour que la PNWW exerce son autonomie gouvernementale et se développe selon ses propres besoins et valeurs, le renforcement de sa structure de gouvernance territoriale était nécessaire dans son développement organisationnel.

Dans le but d’accentuer son affirmation et occupation contemporaine du territoire, la PNWW dispose aujourd’hui de différentes ressources professionnelles permettant de poursuivre l’amélioration de ses services aux membres et de veiller à la défense de leurs intérêt

  •  

  • Superficie - 62,49 km2.

  • Gentilé - Cacounois, oise (village).

 

  • Éphémérides -


1673 Concession d'une seigneurie à Charles Aubert de La Chesnaye ; la seigneurie est nommée seigneurie de la Rivière-du-Loup-en-Bas (169).
1721 Arrivée de premiers colons.
1765 Arrivée de colons acadiens qui s'y installent en squatters.
1798 Fondation d'une mission catholique.
1809 La mission prend le nom de Saint-Georges-de-Kakouna.
1813 (19 avril 1813) Ouverture des registres de la paroisse Saint-Georges.
1825 (1 octobre 1825) Érection canonique de la paroisse Saint-Georges et nomination du premier curé résidant ; son territoire couvre une partie de la seigneurie du Parc connue sous le nom de Kakouna.
1845 (8 juin) Constitution de la municipalité de Kakouna.
1847 (1 septembre 1847) Abolition de la municipalité de Kakouna.
1848 Construction de l'église paroissiale.
1854 (18 décembre 1854) Abolition du régime seigneurial.
1855 (1 juillet 1855) Constitution de la municipalité de Saint-Georges-de-Kakouna.
1863 Inauguration de l'hôtel St. Lawrence Hall (600 chambres et une salle à manger pouvant accueillir 800 convives)
(Mars 1863) Markland Molson charge l'architecte Jonhn J. Brown de lui construire un cottage (style médiéval gothique rural doté d'une tourelle et de fenêtres ogivales arquées) qui fut assemblé au printemps à Montréal. Molson le fit démonter et transporter par bateau à Cacouna où il fut assemblé de nouveau.
1865 Inauguration du transport par vapeur entre Québec, La Malbaie, Saint-Georges-de-Kakouna et Tadoussac.
1869 (1 janvier) Constitution de la municipalité du village de Saint-Georges-de-Kakouna par détachement de celle de la paroisse du même nom.
1875 La graphie de Kakouna est changée en Cacouna.
1923 La population de la paroisse est de 1 192 âmes.
1945 (29 avril 1945) Fondation de la Caisse populaire de Cacouna.
1980 (29 octobre 1980) Le ministre de l'Environnement du Québec, Marcel Léger, soumet au Bureau d'audience publique sur l'environnement du Québec un projet de terminal méthanier que la compagnie Trans-Canada Pipeline voudrait construire sur l'île de Gros-Cacouna dans le cadre du projet pilote de l'Arctique. Ce projet consiste à extraire du gaz naturel du champs gazéifère de Drake Pointe de l'Île Melville dans l'Arctique canadien, de le transporter par gazoduc jusqu'à Bridport Inlet sur l'île Melville où le gaz sera liquéfié dans une usine construite à cet effet ; le gaz liquéfié sera ensuite transporté par des brise-glace méthanier jusqu'à un port situé dans le sud-est du pays, Le gaz naturel liquéfié sera transporté dans le golfe du Saint-Laurent en empruntant le détroit de Parry, la baie de Baffin, le détroit de Davis, la mer du Labrador et le détroit de Belle-Isle. Les méthanier traversernt le golfe du Saint-Laurent au large de la côte nord de l'île d'Anticosti (détroit de Jacques-Cartier) et remonteront le fleuve jusqu'à l'embouchure de la rivière Saguenay, puis traverseront le fleuve en direction de l'île de Gros-Cacouna. Les méthaniers auront une longueur de 370 m et une largeur de 40 m et pourront transporter 140 000 m3 de gaz naturel et seront capables de naviguer sans problème dans la glace de 2 m d'épaisseur ; le gaz sera emmagasiné sous forme liquide dans un terminal méthanier puis vaporisé et distribué par une bretellle reliant le terminal au réseau principal du gazoduc. (source : Rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement-BAPE remis au ministre de l'environnement du Québec, Marcel Léger le 20 mars 1981)
1990 La population de Saint-Georges-de-Cacouna est de 1 166 habitants, celle de la paroisse, 729.
2000 La population de Saint-Georges-de-Cacouna est de 1 123 habitants, celle de la paroisse, 705.
2006 (22 mars 2006) Regroupement des municipalités de Saint-Georges-de-Cacouna (village) et de Saint-Georges-de-Cacouna (paroisse) sous le nom de Cacouna. La population de la nouvelle municipalité de Cacouna est de 1 855 habitants.
2008 Au cours de l'année, 8 carcasses de veaux de béluga sont retrouvées échouées sur les berges du Saint-Laurent. N.B. De 1980 à 2007, on dénombrait de 0 à 3 morts de bébés bélugas par an dans les eaux du Bas-Saint-Laurent.
2010 La population de Cacouna est de 1 899 habitants.
2014 (mai) La compagnie Trans-Canada Pipeline qui veut y construire un port pétrolier annonce qu'elle veut acheter le port de Cacouna dont le gouvernement du Canada veut se départir.
(24 septembre 2014) La juge Claudine Roy de la Cour supérieure du Québec émet une injonction qui suspend jusqu'au 15 octobre 2014 les forages géotechniques entrepris par Trans-Canada Pipeline en vue d'agrandir son quai.
(26 septembre 2014) Le quotidien Le Devoir rapporte que, selon le Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins, 9 carcasses de béluga, dont 5 nouveaux-nés et dont une carcasse était celle d'une mère qui venait de donner naissance ont été retrouvées au cours des semaines précédentes. L'organisme Nature Québec lance une pétition qui invite les Québécois à interpeller le premier ministre Philippe Couillard pour qu'il interdise définitivement les travaux dans l'habitat du béluga, au large de Cacouna.
(Décembre 2014) La présence des bélugas oblige Trans-Canada Pipeline à suspendre les travaux d'aménagement d'un terminal maritime à Cacouna.
(1er avril 2015) Trans-Canada Pipeline annonce qu'elle ne construira pas de terminal maritime à Cacouna, mais que le pétrole se rendrait directement au Nouveau-Brunswick (Port de Belledune ?).


Cacounois cités dans La Mémoire du Québec -

Georges-Henri Deschênes. Louis-Félix Dubé. Séverin Dumais. Élie Mailloux. Honoré-Cyrias Pelletier. Félix-Alonzo Talbot.
 

  • Attraits :


Église Saint-Georges (1845-1848) ; plans de Louis-Thomas Berlinguet ? ; maître-autel de Louis-Thomas Berlinguet ; décoration intérieure (1852-1858), tabernacles des 3 autels de François-Xavier Berlinguet (1860) ; 8 tableaux de peintres romains dont C. Porta (au-dessus du maître-autel, 1893) et Vincenzo Pasqualoni (Sacré-Coeur de Jésus, chapelle de droite, 1877) acquis par le curé de la paroisse lors d'un voyage à Rome ; vitraux des fenêtres du choeur représentant les 4 évangélistes réalisés par la maison Bernard Léonard de Québec (1897) ; orgue d'Eusèbe Brodeur (18 jeux et 2 claviers, 1888) ; classée monument historique en 1957.
Église anglicane.
Presbytère Saint-Georges (néo-classique, 1835-1841) ; rue de l'Église ; classé monument historique en 1957.
Résidences d'été anciennes ; rappellent qu'au XIXe siècle l'endroit était fréquenté par la bourgeoisie anglo-saxonne du Québec ; parmi ces résidences, la Villa Montrose construite pour le banquier Hugh M. Allan, et le Pine Cottage (1867) construit pour la famille Molson, propriétaire des Brasseries Molson.
Site ornithologique du marais de Gros-Cacouna ; sentier ornithologique (5 km) ; 130 espèces d'oiseaux (râle jaune, canard barboteur, canard plongeur, grand harle, harle couronné, fuligule, garrot, quelques ibis falcinelle, rapace et bigoreau etc).
 

  • Toponymie -


Cacouna ou Kakouna vient des mots amérindiens kakoua «porc-épic» et nak «demeure de» ou «chez» ; cette expression signifie, en cri, «demeure du porc-épic» et, en algique, «au pays du porc-épic» ; les porcs-épics abondaient jadis dans la région.
Rivière-du-Loup rappelle la seigneurie de ce nom dans laquelle le territoire de la municipalité est situé.
 

  • Repères géographiques -


Sur la rive droite du Saint-Laurent.
Au nord de Rivière-du-Loup.
Diocèse de Rimouski.
Municipalité régionale de comté de Rivière-du-Loup.
Région touristique du Bas-Saint-Laurent.

  • Accès : Route 132 et Autoroute 20.

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